Infos Sud Education Calvados hebdomadaireLettre hebdomadaire de SUD éducation Calvados
Mercredi 8 novembre
Solidaires, Unitaire, Démocratique

 

Inter-catégoriel

CONDITIONS DE TRAVAIL : ET NOTRE POUVOIR D’AGIR ?

 

SUD Éducation Calvados organise un stage de formation syndicale

les 14 et 15 décembre.


Pour lutter contre la dégradation de nos conditions de travail et faire valoir nos droits, il existe des moyens concrets. Ce stage sera l’occasion de découvrir et de s’emparer des outils pour défendre et améliorer nos conditions de travail.


S’emparer de notre pouvoir d'agir, c’est se réapproprier notre travail.

 

Ce stage est ouvert à tous les personnels, syndiqué-es ou non, fonctionnaires d’État ou des collectivités territoriales, contractuel-les de droit public ou privé, de la maternelle à l'université. La participation à un stage de formation syndicale sur temps de travail est un droit qu’il faut faire vivre. Nous avons individuellement droit à 12 jours de formation syndicale par an.


Vous pouvez dès à présent nous contacter par courriel pour vous inscrire et informer l’employeur de votre participation par courrier et par voie hiérarchique (voir ce modèle ou contacter le syndicat), ce jusqu’au mardi 15 novembre.


En cas de refus de votre employeur ou de votre chef-fe de service, contactez-nous rapidement.

 

Vous trouverez ici l'annonce de ce stage.

 

 

MOBILISATION INTERPROFESSIONNELLE : GRÈVE ET MANIFESTATIONS LE 16 NOVEMBRE

 

Pour les organisations syndicales de salarié-es, d’étudiant-es et de lycéen-nes CGT – FO – Solidaires – UNEF – UNL – FIDL réunies le 24 octobre 2017, un constat s’impose, celui d’une politique libérale visant à accroître les inégalités au profit d’une minorité.


Qu’il s’agisse :

  • de nombreuses dispositions inacceptables des ordonnances, limitant des droits des salarié-es ;
  • des risques qui pèsent sur les droits des salariés-es et demandeurs et demandeuses d’emploi en matière d’assurance chômage ou de formation professionnelle ;
  • de mesures précarisant toujours un peu plus l’emploi et l’insertion des jeunes sur le marché du travail ;
  • de la remise en cause des droits à l’avenir des jeunes par l’instauration d’une sélection à l’entrée de l’enseignement supérieur ;
  • de la modération salariale et de l’augmentation de la CSG ;
  • des atteintes au service public et à la protection sociale ;

Les organisations signataires s’adressent solennellement au gouvernement afin qu’il prenne en considération les attentes sociales multiples qui s’expriment dans le public et le privé, par les actifs et actives, les jeunes, les demandeurs et demandeuses d’emploi et les retraités-es. Compte tenu de la gravité de la situation, elles décident de faire du 16 novembre 2017 une journée de mobilisation interprofessionnelle, étudiante et lycéenne, par des grèves et manifestations.


Elles invitent les autres organisations syndicales et de jeunesse à s’y associer.


Lien vers le communiqué sur notre site.

 

 

RADIOACTIVITÉ DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES

 

Le radon est un gaz naturel radioactif, produit de la dégradation de l'uranium présent dans les roches. Il est identifié par les autorités sanitaires comme la deuxième cause de cancer pulmonaire en France après le tabac. Il est classé « cancérigène certain » par l’Organisation Mondiale de la Santé. Le ministère de la santé évalue le nombre de décès causés par le radon entre 1200 et 2900 par an.


Un tiers des départements de France métropolitaine ainsi que la Guyane, Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon, la Guadeloupe et la Kanaky sont concernés par les risques liés à la concentration du gaz radioactif qu’est le radon.


Administration sourde et muette ! L’arrêté du 22 juillet 2004 relatif aux modalités de gestion du risque lié au radon dans les lieux ouverts au public n’est à ce jour pas respecté par l’administration. Les mesures ne sont effectuées qu’au compte-gouttes, sous la pression de notre organisation syndicale.


Des enfants et agent-es en danger

Au vu et au su de l'administration, des enfants et des personnels d’un tiers des départements du territoire métropolitain risquent de contracter un cancer pulmonaire au vu et au su de l’administration.

 

La fédération SUD éducation dénonce l’amateurisme de l’administration dans ce qui constitue un enjeu majeur de santé publique majeur. Elle interpelle par courrier les ministres concerné-es sur cette question de santé publique.


→ Elle demande qu’une campagne de mesures soit entreprise sans délai dans les trente-et-un départements métropolitains concernés ainsi qu’en Guyane, à Mayotte, à Saint-Pierre-et-Miquelon, en Guadeloupe et en Kanaky (Nouvelle-Calédonie).

 

→ Elle demande la mise en œuvre immédiate, dans les lieux publics où la concentration en radon dans l’air dépasse les normes, de travaux destinés à faire baisser cette concentration sous le seuil légal.


Pour lire l’intégralité de la lettre de SUD ÉDUCATION c’est ici.


Pour lire le communiqué et la liste des départements les plus touchés.

 

 

Enseignement 1er Degré

RÉUNIONS D’INFORMATION SYNDICALE

 

SUD Éducation Calvados organise des réunions d’information syndicale le mercredi 29 novembre de 10h à 11h30 à la Maison des associations, 26 rue de la poterie à Bayeux et le mercredi 6 décembre de 13h30 à 15h à l’ESPE de Caen.


Vous pourrez, entre autres, y poser toutes vos questions relatives au PPCR, à nos droits et nos outils d’action... Vous pouvez également nous faire part de vos souhaits en termes de contenu en nous écrivant au préalable à sudeduc14@free.fr.

 

Vous pouvez déduire ces heures de vos 108 heures annuelles. Vous devrez alors en avertir votre hiérarchie.


Vous trouverez ici un modèle de lettre à envoyer à votre supérieur-e.

 

Syndiqué-es ou non, venez nombreuses et nombreux.

 

 

GRÈVE DU 16 NOVEMBRE, PENSEZ À VOTRE PRÉAVIS !


Pensez à envoyer votre déclaration d’intention de grève au plus tard le lundi 13 novembre.


Vous trouverez un modèle de préavis sur notre site.

 

Enseignement 2nd Degré

L’APPRENTISSAGE COMME SOLUTION MIRACLE AU CHÔMAGE ! SUD ÉDUCATION SUR FRANCE INTER

 

Notre camarade Nicolas s'est réveillé très tôt pour répondre aux questions de Clarisse Taron sur France Inter. Une bonne occasion de déconstruire les idées reçues sur ce type de parcours que le gouvernement présente comme la panacée.


Pour écouter l’interview c’est ici.

 

 

HIÉRARCHISATION DES LANGUES AU BAC ET INÉGALITÉS DE TRAITEMENT

 

Les épreuves de langue vivante aux baccalauréats général et technologique sont actuellement régies par les arrêtés du 15 septembre 1993. Les inscrit-es à l’examen choisissent les langues étrangères qu’ils/elles présenteront aux épreuves de LV1, LV2 ou LV3. Cependant, les langues dites régionales (et quelques langues étrangères) sont exclues des choix possibles pour la LV1. De fait, les textes prévoient donc une inégalité de traitement entre les différentes langues, notamment pour l’épreuve obligatoire (LV1).


En Bretagne par exemple, une filière spécifique a été créée dans l’enseignement général, avec des classes où l’enseignement se fait partiellement en breton depuis la maternelle. Paradoxalement, cet enseignement n’est pas valorisé au niveau du baccalauréat. Ainsi, en Bretagne, un-e élève de terminale parlant chinois pourra choisir cette langue comme LV1 au baccalauréat. Par contre, un-e élève parlant breton ne pourra pas choisir cette langue comme LV1 au baccalauréat.

 

SUD éducation souhaite que les langues régionales soient à égalité de traitement avec les autres langues actuellement évaluées et donc puissent être choisies au baccalauréat en LV1. La fédération interpellera le ministère en ce sens en vue des épreuves de Baccalauréat 2018.

 

Retrouvez ici ce communiqué.

 

ÉDUCATION EN GUYANE : CHASSE AUX ÉTRANGERS ET ÉTRANGÈRES ET PÉRIL ANNONCÉ

 

C'est le défilé à la permanence Réseau Éducation Sans Frontières (RESF) de Cayenne. Des dizaines de jeunes majeur-es étranger-ères viennent chercher de l'aide et des conseils. Ils et elles sont en poursuite d'études et sont arrivé-es récemment sur le territoire guyanais. Ils et elles ont été arrêté-es sur leur lieux de stage ou sur le chemin du lycée. Ils et elles se sont fait confisquer leur passeport par la Police Aux Frontières. La suite, ce sera une obligation de quitter le territoire français, un aller simple vers leur territoire d'origine qu'ils et elles ont fui. Et donc l'interruption de leur scolarité et la
faillite de leur avenir.


Pour lire l’intégralité du communiqué.

 

 

Enseignement supérieur

BIZUTAGE EN MÉDECINE À L’UNIVERSITÉ DE CAEN

 

Dans un message au Président de l’Université de Caen Normandie, en date du 8 mars 2017, SUD Éducation et Solidaires Étudiant-es - SLC ont dénoncé l’appel à agression sexuelle explicite contenue dans l’affiche invitant les étudiant-es à participer au gala de médecine.


À la suite de ce premier signalement, SUD Éducation, en collaboration avec Solidaires Étudiant-es - SLC et un collectif féministe de Caen, a poursuivi le recueil d’informations portant sur les pratiques de bizutage en médecine.


Une nouvelle fois alertés, le Président de l’Université et le Directeur de l’UFR de Santé nous ont indiqué la convocation immédiate de la présidente de la « corpo », sans que le contenu de leurs échanges ou l’adoption d’éventuelles mesures de prévention plus globales ne nous soient communiqués.


Sans nouvelles de la direction de l’Université de Caen et ayant constitué un dossier d’une soixantaine de pages sur les pratiques de bizutage en médecine à Caen, SUD Éducation a finalement fait le choix d'effectuer un signalement à la Procureure de la République, avec copie au Recteur de l’Académie et au Président de l’Université, et de contacter une journaliste indépendante afin de rendre publics ces agissements.

 

Le contexte médiatique actuel nous montre à quel point la lutte contre le bizutage ou toutes formes de harcèlement et d’agression est un combat quotidien. Nous invitons l’ensemble des collègues de l’Université de Caen Normandie à rester vigilant-es et mobilisé-es face à de tels comportements et à nous signaler syndicalement de tels faits, en nous contactant directement (sous garantie d'anonymat si besoin) et en utilisant les Registres de Santé et de Sécurité au Travail (RSST).


Retrouvez le communiqué et le lien vers la vidéo ici.


MAINTENONS OUVERT L’ACCÈS AUX ÉTUDES SUPÉRIEURES !

 

À l’été 2017, des dizaines de milliers de bacheliers et bachelières se sont retrouvé-es sans affectation dans le supérieur. Cette situation de crise est tout sauf imprévue : elle est organisée par le gouvernement qui ne donne pas à l’enseignement supérieur les moyens de fonctionner. En effet, il manque l’équivalent de trois universités en France pour accueillir l’ensemble des bacheliers et bachelières alors qu’ils et elles étaient 200 000 de plus ces dernières années et seront à nouveau entre 40 et 50 000 supplémentaires l’an prochain.


C’est dans ce contexte que le ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a décidé de lancer une large concertation dans l’optique d’« en finir avec le gâchis d’Admission Post Bac », et de sortir de cette « situation inacceptable » tout en instrumentalisant l’injustice du tirage au sort. 11 groupes de travail se sont donc réunis une fois par semaine depuis la mi-septembre jusqu’au 13 octobre, soit 55 réunions en 5 semaines en pleine période de rentrée.


En ouverture de ce cycle, la Ministre a insisté sur sa volonté de voir régner un climat de confiance au cours de ces travaux. Mais comment faire confiance à un gouvernement qui souhaite imposer un « contrat de réussite » aux étudiant-es et aux établissements d’enseignement sans leur donner les moyens ne serait-ce que d’accueillir dans des conditions convenables ces flots d’étudiant-es dont personnes n’ignorait qu’ils allaient arriver ?

 

Pour SUD éducation, l’heure est à la construction d’un large front de lutte pour enrayer cette contre-révolution du système éducatif. Il doit sans attendre s’inscrire dans le mouvement global de refus des politiques néo-libérales de Macron et de son gouvernement.


Lire l’intégralité du communiqué ici.

 

Ne le dites à personne

COLLÈGE À VENDRE !

 

40 pièces, 6 526 mètres carrés, charmants locaux situés au cœur de la ville, proche de la gare et tous commerces, quartier en pleine expansion ! (Inclu-es les 280 élèves et le personnel)

 

Val-de-Reuil dans l’Eure, lundi 6 novembre : la cour est vide, le collège Pierre Mendès-France déserté. Les élèves ne sont pas venu-es, les enseignant-es font grève. Les fenêtres sont barrées par de grandes affiches : « Collège à vendre », «brader ».


Une annonce est postée sur le Bon coin afin d’attirer l’attention et de protester contre la décision du véritable propriétaire, le Département de l’Eure, de fermer le collège en septembre prochain.


Puisque le Conseil départemental considère le collège comme un bien immobilier, et non pas comme un service de l’Éducation nationale, « Pierre Mendès-France a tout à fait sa place sur Le Bon Coin » ironise une enseignante.

 

 

ACTUALITES

DANS LA RUE LE 16 NOVEMBRE

 

Les Retraités et les Retraitées toujours contre l’augmentation de la CSG
et pour un autre partage des richesses


Le 28 septembre, à l’appel de neuf organisations de retraité-es (CGT, FO, FSU, Solidaires, CFTC, CFE-CGC, FGR-FP, UNRPA, LSR), plus de 80 000 personnes retraitées ont manifesté, dans plus de 130 villes, contre le mépris du Président de la République à leur égard et pour une augmentation de leur pouvoir d’achat, impliquant notamment l’abandon de toute augmentation de la CSG.


Persuadée que la satisfaction des revendications de pouvoir d’achat des personnes retraitées devra probablement s’inscrire dans une inversion politique globale conduisant à un autre partage des richesses, l’Union Nationale Interprofessionnelle des Retraité-es Solidaires (UNIRS) appelle d’ores et déjà les personnes retraitées à participer aux manifestations qui auront lieu sur tout le territoire le jeudi 16 novembre à l’appel de l’intersyndicale nationale (CGT, FO, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL, etc.).


Vous trouverez ici l'intégralité du communiqué.

 

 

Jeudi 16 novembre 2017,

 

journée de mobilisation interprofessionnelle, étudiante et lycéenne

 

Rendez-vous à 10h30 Place Saint-Pierre à Caen

 

 

CSG, PPCR : EN MARCHE VERS ... LE HOLD-UP SUR 5,5 MILLIONS D’AGENTES ET D'AGENTS PUBLICS

 

CSG : d’abord mentir pour se faire élire, puis continuer et au final arnaquer
Le candidat Macron a savamment fait miroiter pendant la campagne présidentielle à 28 millions d'actifs, également électeurs, la hausse prochaine de leur rémunération grâce à une baisse de cotisation sociale salariale malgré une augmentation de 1,7 points (soit 22 %!) de la CSG. S'agissant des agentes et d'agents publics, le candidat Macron leur a même écrit une lettre ouverte le 12 avril 2017 pour préciser que leur pouvoir d'achat serait augmenté comme celui des salariés du privé. UN MENSONGE POUR GAGNER DES VOIX ! Aujourd'hui, malgré les milliards de cadeaux fiscaux faits aux plus riches, le même Macron qui prétend respecter ses promesses, propose au mieux une simple compensation de l'augmentation de la CSG, qui conduira de fait à des baisses de salaire net en 2018.


PPCR : les grilles décalées d’un an
Les décisions Darmanin en bref : les quelques corps de fonctionnaires qui n’ont pas encore bénéficié des mesures 2016 et 2017 vont bientôt être concernés avec effet rétroactif, 2018 est une année blanche. PPCR est gelé en 2018 par le gouvernement. Les grilles indiciaires demeureront celles en vigueur en 2017, et même la 2ème tranche de transfert primes/points pour la catégorie A est décalée à 2019 au mieux, les abondements en points  d’indice des grilles initialement prévus sur 3 ans de 2018 à 2020 sont décalés de 2019 à 2021.


1er janvier 2018 : nouvelle baisse de salaire net !
Au 1 er janvier 2018, à cause des réformes Retraite Sarkozy/Fillon et Hollande/Ayrault, la cotisation salariale pour pension va encore augmenter et passer de 10,29 % à 10,56 % du traitement indiciaire brut.
Résultat : de nouvelles baisses de salaires nets à prévoir sur la fiche de paye !
Selon l’INSEE, déjà en 2013 et 2014 près de 40 % des fonctionnaires avaient subi une baisse de salaire net, suite au gel du point d’indice et à l’augmentation de cotisation retraite.

 

Pour Solidaires Fonction Publique, des sommets d’indécence sont atteints avec une politique qui attaque frontalement 5 millions d'agentes et d'agents publics. Plus que jamais, nos revendications de rattrapage des pertes de pouvoir d’achat, d'une revalorisation du point d'indice, d'abondement des grilles indiciaires et de plans de promotions sont indispensables et légitimes !


Lire l’intégralité du tract.

 

 

3 NOVEMBRE 11H44 ...

 

L’année dernière des salariées avaient symboliquement arrêté de travailler le 7 novembre à 16h34 pour dénoncer les inégalités salariales. Les chiffres d’Eurostat ayant été actualisés (les femmes étant payées 15,8 % de moins selon les chiffres Eurostat 2017) c’est à partir du 3 novembre à 11h44 (et 9 secondes), que les salariées travaillent « bénévolement » !


Et encore, si on prend les chiffres de l’Observatoire des Inégalités, 2012, les salaires des femmes sont en moyenne inférieurs de 25,7% à ceux des hommes, tous temps de travail confondus !


Pour Solidaires il faut combattre les inégalités salariales qui sont de 3 ordres :

  • les inégalités pour un travail à niveau égal,
  • celles liées à la moindre valorisation des métiers « féminins »,
  • celles issues de la structure de l’emploi (la place des femmes et des hommes dans la hiérarchie, leurs évolutions de carrière, les salaires associés).

Soyons de toutes les luttes féministes ! Combattons les inégalités salariales dans nos entreprises et nos administrations ! Dénonçons et combattons les harcèlements sexuels et les violences contre les femmes !


Pour lire l’intégralité du communiqué

 

DE NOTRE UNION SYNDICALE SOLIDAIRES

BIENVENUE EN MACRONIE !

 

Décryptage par le témoignage de plusieurs syndicalistes de Solidaires Gard des conséquences de la politique du gouvernement Macron.


Lien vers la vidéo ici.

 

NOUVELLE VICTOIRE POUR LES VICTIMES DES PESTICIDES DE TRISKALIA.


La Commission des pétitions du Parlement européen a voté à l'unanimité de ses membres pour que la pétition inscrite sous le numéro 0328/2016 déposée par les victimes des pesticides de Triskalia, soit prise pleinement en compte par la Commission Européenne.


Le Chef de Cabinet du Commissaire Européen à la santé a alors prévu d'inclure un audit en France dans son programme 2018, afin d'examiner l'application de la Directive 2009/128 sur l'utilisation durable des pesticides. L'audit fera partie d'un ensemble dans un certain nombre d'États-membres en 2017 et 2018. L'audit couvrira un large spectre de sujets liés à l'utilisation durable des pesticides, y compris la manipulation sécurisée et l'usage des pesticides, ainsi que les intoxications aigües et chroniques. Au titre de cet audit, l'équipe visitera la région Bretagne et prendra en compte les problèmes soulevés par les pétitionnaires.


Les ex-salariés de la coopérative Triskalia victimes des pesticides et l'Union Régionale Solidaires de Bretagne tiennent à remercier toutes les personnes et toutes les organisations qui ont soutenu leur démarche auprès de la Commission des Pétitions du Parlement Européen, au premier rang desquelles José Bové, Michèle Rivasi, toutes et tous les Parlementaires Européen(es) membres de la Commission des Pétitions, le Collectif de soutien aux victimes des pesticides de l'Ouest, Phyto-Victimes et Générations futures.


Lire le communiqué en intégralité ici.

 


 

SE SYNDIQUER C’EST BIEN, SE SYNDIQUER À SUD C’EST MIEUX !

 

 

 

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Vous trouverez ici un bulletin d'adhésion.

 



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