K.I.C. Koordination.Intermittents.Calvados

Allocations - Trop perçu - Halte aux abus de Pôle Emploi


VERSER LES ALLOCATIONS CHÔMAGE : UNE OBLIGATION QUI N’EST PAS RESPECTÉE !


L’État et l’Unedic (le Medef et certains syndicats) établissent les règles de l'indemnisation qui laissent sans ressource plus de la moitié des chômeur-euses…
Mais c’est bien Pôle Emploi qui a la responsabilité d’ouvrir des droits et de verser les allocations chômage : Pôle Emploi doit donc accueillir et informer correctement toutes les chômeur-euses et précaires et tout mettre en oeuvre pour permettre, chaque mois, le versement exact et rapide, des allocations.


Pourquoi Pôle emploi n’assure-t-il pas ce service aux chômeurs-euses ?


TROP PERÇUS : PÔLE EMPLOI DOIT RESPECTER LES RÈGLES DE DROIT !


Il doit vous avoir notifié par écrit le trop-perçu et préciser de manière détaillée et compréhensible:


- les motifs du trop perçu
- les périodes concernées
- le décompte des sommes

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Rassemblement devant la préfecture - Accueillir les migrants

 

Nous sommes de plus en plus nombreux, hommes, femmes, enfants, à manifester notre solidarité avec les migrants. Nous avons compris que cette « crise migratoire » n’est pas un phénomène passager. Le nombre des personnes chassées de chez elles par la guerre, la misère et bientôt l’accélération des désordres climatiques va encore augmenter.


Nous voyons les images, nous lisons les reportages des naufrages en Méditerranée, des cohortes dans le désert. Nous savons ce qui se passe le long de ces parcours de camps improvisés en centres de rétention : les viols, les vols d’organes, la torture, la mort.

 

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« Ceci est un avertissement ! »


Syndicalistes d'Air France en septembre, ceux de Goodyear les 19 et 20 octobre dernier, mais aussi nombre de militant-es qui ont combattu la Loi Travail comme Franck Merouze, le secrétaire de l'Union Locale CGT de Caen, le 23 novembre prochain qui passe en jugement pour « outrage » parce qu'il met en cause, dans un communiqué, des agissements du Directeur Départemental de la Sécurité Publique : les procès s'enchaînent. A chaque fois, il s'agit de sanctionner la prétendue violence de ces militant-es tout en niant la violence réelle que nous, syndicalistes, subissons. Il faut considérer ces procès comme des avertissements envoyés au monde du travail par ceux et celles qui sont au pouvoir !


Défendre les emplois, défendre les libertés syndicales, le droit de manifester, dénoncer les abus de la police est aujourd'hui considéré comme un crime parce que nous menaçons l'ordre, celui imposé par l’État ou dicté par les patrons. Pourtant ces actions sont légitimes et nécessaires !


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Rassemblement - 10 juin 2015 - 13 H 30 - DSDEN d’Hérouville St Clair  (avant le CTA)

 

pour protester contre une éventuelle fusion des académies et l'absence de prise en compte du point de vue des personnels

 

Un projet de fusion est probable entre l’académie de Caen et l’académie de Rouen. Le Conseil des Ministres du 22 avril a donné mission à 9 recteurs pour réfléchir à des rapprochements pouvant aller jusqu’à la fusion
d’académies : « Chacun d’entre eux mène, en lien avec le préfet préfigurateur et les autres recteurs concernés, la concertation avec les organisations syndicales pour élaborer un projet d’organisation inter-académique, pouvant aller de dispositifs de coopération renforcée à une intégration conduisant à une fusion d’académies.
Ces projets de convergence sans alignement sur les nouvelles régions feront également l’objet de décisions en juillet 2015. » Nous contestons cette marche forcée sans aucune concertation sérieuse. A ce jour seul le Comité technique spécial du 4 juin restreint aux seuls personnels exerçant en DSDEN et au rectorat a été sollicité, et sans aucun document, alors qu’une fusion aurait un impact pour l’ensemble des personnels. Le recteur n’a pas prévu un point sur la réforme territoriale au CTA du 10 juin.


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Sud Education Calvados
8 rue Ampère - 14123 Cormelles le Royal
02 31 24 23 36 - 06 72 67 50 13

10 ans près la loi de 2005, le sigle change, la précarité reste !

EXIGEONS LA TITULARISATION DE NOS COLLÈGUES !


Le décret du 27 juin 2014 devait renforcer la « professionnalisation des intervenant-es » et prévoyait des accompagnant-es recruté-es en CDI. Exit les CAE-CUI, les EVS, voilà les « AESH » (Accompagnant d'Elève en situation de Handicap). Mais changer de nom change-t-il le fond ?


A présent, l’Éducation Nationale recrute un-e AESH en CDD, si elle ou il possède déjà un diplôme d'accompagnement à la personne, ou a 2 ans d'expérience. Les reconductions de contrat sont parfois aléatoires, le salaire n’est rien d’autre que le SMIC, et à temps partiel car rien n'oblige à recruter à temps plein ! Ensuite, l'employeur peut lui proposer un CDI mais ce n'est pas obligatoire. Pour que cela le devienne, il faudra avoir réalisé 6 ans de CDD (voire plus, car les années en CUI ne sont pas comptabilisées). Reste que ces recrutements ne sont qu’une partie infime des contrats, l’Éducation Nationale continuant d’avoir recours massivement aux « contrats aidés » qui aident surtout les employeurs à payer moins des personnels dont ils ont besoin. Or, les besoins en accompagnant-es restent énormes, mais l’Éducation Nationale refuse de se donner les moyens des ambitions affichées par la loi. Car au fond, les AESH ne sont pas considéré-es par l'institution dans leurs missions actuelles : leur précarité en est la preuve. Cette situation est également révélatrice de la considération que l'on porte aux élèves en situation de handicap : ils et elles passent après les autres, malgré tout, encore et TOUJOURS.

 

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