SUD éducation refuse la cogestion avec l’administration.
Les élu-es de SUD éducation sont présent-es dans les instances
pour instaurer un rapport de force favorable aux revendications
et à la défense des personnels.
L’ensemble des organisations syndicales (OS) représentatives du département (SNUipp, CGT, UNSA, SGEN et SUD) sont conviées et présentes lors de ce GT.
Il s’agissait d’effectuer des ajustements de rentrée notamment dans les écoles où la pression des effectifs est importante. Le jeu de l’administration est ici de déshabiller Paul pour habiller Jacques puisque les réserves de rentrée, au moment du GT et après avoir abondé les classes de grande section (GS) par un dédoublement en REP+, ne sont plus que de 3,5 ETP.
Implantation d’emploi :
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Des réformes précipitées, bâclées, sans concertation, en contradiction totale avec la démocratie participative actuellement si vantée, des réformes uniquement capables de produire des sentiments de souffrance, d’injustice et de colère, n’ayant pour finalité que de:
– réduire la portée des CAPA, des CHSCT et affaiblir la représentation syndicale,
Madame la rectrice,
nous commençons aujourd’hui l’examen des dossiers du mouvement intra-académique dans le cadre des FPMA et des CAPA. Or, nous n’avons aucune perspective positive de la pérennité de cette instance. Les réformes de l’Éducation Nationale et de la Fonction Publique vont réduire considérablement l’importance de ces Commissions Paritaires, ne laissant que de maigres bribes d’espaces de fausse concertation aux élu-es syndicaux et syndicales, en leur ôtant leur rôle de représentation et de défense des collègues, leur rôle de contrôle de l’administration dans la gestion des personnels, tant dans leur avancement de carrière que dans le traitement de leurs projets de mutation.
Deux commissions ont eu lieu :
l'une sur les mutations
l'autre sur le tableau d'avancement
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